Courge Butternut Rôtie Façon Hasselback – Recette Facile et Familiale Irrésistible

Introduction

Vous savez, la courge butternut rôtie façon Hasselback, c’est un peu comme ce petit plat qui sauve les soirées quand on n’a ni le temps ni l’envie de s’embêter. J’ai découvert cette recette un soir où ma cuisine ressemblait à un champ de bataille — farine partout, un enfant qui voulait aider mais finissait par tout renverser, bref, le bazar intégral. Et pourtant, cette courge, avec ses jolies entailles et sa chair tendre, m’a réconciliée avec la cuisine familiale. C’est simple, ça fait son effet, et c’est surtout réconfortant à souhait. Parfois je râle parce qu’il faut bien la couper en fines tranches sans aller jusqu’au bout, un vrai casse-tête qui me donne des petites sueurs froides… mais une fois au four, ça sentait tellement bon que j’ai presque oublié cette bataille. Alors, si vous cherchez une recette facile, chaleureuse, qui met tout le monde d’accord autour de la table, laissez-moi vous raconter comment la butternut Hasselback est devenue ma star des repas en famille.

Ingrédients et mesures :

1 kg de courge butternut entière Quelques amandes Huile d’olive vierge extra 4 branches de romarin Sirop d’érable (facultatif) Sel Poivre

Temps de préparation :

10 minutes

Temps de cuisson :

1 heure + 10 minutes supplémentaires

Instructions :

Préchauffage du four

Préchauffer le four à 200°C en chaleur tournante ou 210°C en chaleur statique. C’est important, hein, que le four soit bien chaud avant d’y mettre la courge, sinon elle cuit au ralenti et on finit par devenir impatients, croyez-moi.

Préparation de la courge

Laver la courge soigneusement. Une fois propre, la couper en deux dans le sens de la longueur, puis retirer toutes les graines (on peut garder les graines pour faire griller, mais pas là, on les jette). Quand on la coupe, attention ça peut glisser – un bon couteau bien aiguisé, ça change la vie.

Incisions et aromates

Déposer les moitiés sur une plaque avec du papier cuisson, côté bombé vers le haut — ce côté qui donne envie d’une bonne purée sucrée. Avec un petit couteau, faire des entailles fines mais pas complètement, jusqu’aux deux tiers, pour que les tranches restent attachées. Dedans, glisser les branches de romarin. Ça embaume la cuisine, un bonheur.

Assaisonnement et cuisson

Avec du sel, on salera généreusement, puis on badigeonne bien d’huile d’olive — ne pas être timide ! Enfourner le tout pendant environ une heure, jusqu’à ce que la chair soit tendre et bien cuite. C’est long mais ça vaut le coup.

Ajout des amandes

Sortir la courge, parsemer d’amandes, puis remettre au four encore 10 minutes pour les faire légèrement dorer. Et là, on commence à sentir la magie opérer.

Finition et service

À la sortie, arroser d’un filet de sirop d’érable si vous aimez la petite touche sucrée-salée, poivrer à convenance. Servir chaud ou tiède, selon l’humeur et la saison.

Notes :

Sur la découpe

Si votre courge est trop dure, un petit coup de micro-ondes (1 à 2 minutes) avant la découpe peut sauver vos poignets.

L’huile d’olive

Préférez une huile fruitée, ça donne du peps, mais évitez d’en mettre trop pour ne pas noyer les saveurs.

Le romarin

Si le goût est trop marqué, on peut aussi mixer avec du thym ou du romarin moins prononcé.

Le sirop d’érable

Vraiment facultatif, je vous avoue que je l’oublie parfois… Et puis c’est pas grave, la courge est déjà douce.

Conservation

À garder au frigo, bien filmée, et à réchauffer doucement sinon ça sèche vite. — Ah, la courge butternut rôtie comme ça, un vrai câlin dans l’assiette, même quand la découpe vire au combat ou que la marinade déborde un peu. Mais ça fait partie du charme, non ? Bonne gourmandise !

Technique de cuisson : préparation de la courge butternut en fines tranches

Comment couper la courge sans qu’elle ne se défasse ?

Ah, couper la butternut en fines tranches qui restent attachées, c’est tout un art ! Le secret, c’est de ne pas aller jusqu’au bout avec le couteau, vraiment couper aux deux tiers de l’épaisseur. Sinon, bam, ça se délite et c’est la galère pour enfourner. Un petit couteau super affûté est ton meilleur allié, et prends ton temps, à défaut de t’énerver.

Peut-on cuire la courge sans romarin ?

Oui, bien sûr ! Le romarin apporte ce petit goût de nature qui réveille tout, mais si tu n’en as pas sous la main, pas de panique. Tu peux le remplacer par une autre herbe comme du thym, ou même un peu de sauge selon ce que tu trouves.

Technique de cuisson : cuisson au four et ajout des amandes

Comment être sûr que la courge soit bien cuite ?

Après une bonne heure au four à 200°C, la courge doit être tendre comme un câlin de fin d’hiver. Pique-la avec une lame de couteau, elle doit glisser sans résistance. Si elle résiste encore, prolonge la cuisson 10 minutes de plus.

Pourquoi ajouter les amandes en fin de cuisson ?

Les amandes aiment le croquant, tu vois ? Si tu les mets trop tôt, elles brûlent rapidement. On les glisse donc sur la courge pour les 10 dernières minutes, juste pour qu’elles dorent et apportent ce petit « crunch » addictif.

FAQ

Peut-on remplacer l’huile d’olive ?

Oui, mais choisis une huile douce et de bonne qualité, comme une huile de noisette ou de tournesol. Le goût ne sera pas exactement le même, mais ça reste très bon.

Faut-il vraiment mettre du sirop d’érable ?

Non, c’est totalement facultatif. Le sirop d’érable apporte une note sucrée qui peut réveiller la douceur de la butternut, mais ce n’est pas obligatoire. Parfois, j’oublie carrément d’en mettre et c’est parfait quand même.

Peut-on préparer ce plat à l’avance ?

Oui, tu peux le cuire, puis le réchauffer doucement. Il perd un peu de son croustillant sur les amandes, mais il reste délicieux, surtout si tu le sers tiède. Print

Conclusion

Cuisiner cette courge butternut au four, c’est un peu comme redécouvrir une vieille amie qu’on n’avait pas vue depuis longtemps. Le romarin apporte ce petit twist parfumé qui rend le plat presque magique, et ces amandes croquantes, c’est la cerise sur le gâteau – ou plutôt la touche finale délicieusement rustique. Je vous avoue, parfois mes tranches ne sont pas aussi fines que prévu, et le sirop d’érable… ah, il a failli me faire rater la cuisson avec ses petits filets collants partout, mais au final, c’est ce qui donne tout son charme à la recette. Ça se partage chaud ou tiède, et ça me rappelle les soirées où l’on traîne en cuisine, sans stress, juste le plaisir de retrouver des saveurs simples et vraies. Bref, c’est un plat qui rassure et qui fait du bien, même quand la vie va vite.

Suggestions d’autres recettes similaire ou d’accompagnement :

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Poêlée de champignons et châtaignes

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